GAD 355. O toi dont l'âme isolée
1.
O toi dont l'âme isolée,
Gémit loin de Dieu,
Au mal qui l'a désolée
Dis : « Adieu !»
2.
Prends enfin la route étroite
Qui mène au bonheur,
Mets ta main dans la main droite
Du Seigneur.
3.
Elle est douce, elle est puissante
Pour te soutenir ;
Elle s'ouvre bienfaisante
Pour bénir.
4.
Bientôt, joyeux, d'un coup d'aile
Tu t'envoleras ;
Dans la patrie éternelle
Tu vivras.
5.
Loin de nos douleurs plaintives,
Auprès du Seigneur,
Tu boiras aux cours d'eaux vives
Du bonheur.
Amen.